reprises de dressage

S'il est clair que les reprises sont devenues techniquement moins difficiles il faut reconnaitre que la plus part des chevaux étaient capables d'exécuter les sessions, mais seuls quelques cavaliers étaient en mesure de garder le cheval dans une impulsion quelque peu acceptable. Dans toutes les reprises de dressage que j'ai vues une majorité de chevaux travaillaient au ralenti. Le fond du problème se situe dans la structuration des cours. Lorsque les entrainements se concentrent sur un travail sur 2 voire 3 pistes et que même bien faits aux 2 mains mais que l'exploitation de' l'engagement des postérieurs n'est pas immédiatement exploité par une mise en avant sérieuse au trot ou au galop, non seulement on perd le bénéfice de l'exercice, mais en plus le cheval se blase et perd de plus en plus son impulsion. Si la simplification des reprises permet de récupérer l'impulsion je n'y trouve rien à redire, par contre si ce n'est pas le cas alors notre équitation française continuera à ce dégrader.

Oui tout ça c'est pas faux, mais en même temps c'est ce qu'on apprend visiblement en formation et faut avouer que c'est pas si simple à mettre en pratique, enfin bon je dis ça je dis rien!

Perso je ne pratique pas le dressage en compét.
J'ai un très faible niveau, et donc j'ai du mal à juger vue mes connaissances limité, je sais juste que pour moi l'impulsion est la base de tout , même avant de chercher à avoir un cheval sur la main, au lieu de faire droite gauche, comme la plupart des cavalier, il faut être à la recherche de l'impulsion et quoi de plus dur?, c'est la base de tout seulement il faut la travailler, et perso j'en ch*e avec ma jument qui n'engage pas systèmatiquement.
Donc je suis tout a fait d'accord avec vous.

ce que je trouve aussi bizzard, dans les compétitions dressge (niveau club) c'est que des enrênement (gogue) sont tolérés alors que la plupart des chevaux dû a cette enrênement sont dans l'artificiel, genre avec la mise sur la main.
Comment peut on juger des cavaliers qui osent aller sur le carré sans enrênement en montrant simplement le vrai travail obtenue, et juger dans la même catégorie donc avec les mêmes critères des cavaliers qui ont bien ajuster ler gogue et dont le cheval est contraint?

D'ailleur pour la plus part des cavliers que j'ai vu un chveal mis sur la main est plutot un aspect de beauté qu'un aspect de travail.
Et puis pour am part je préfere voir un cheval avec une encolure basse tendu vers le sol et qui pousse avec ses postérieurs, qu'un cheval encapuchonner menton dans son poitrail encolure compltement courbé....

Désolé pour le roman mais je ne support pas qu'on privilégie le coter esthétique...

Oui ça aussi c'est complètement bête, ça représente rien un cheval en gogue sur un carré! Et la plupart des enrênnements sont des tues-l'impulsion

Les enrênements ont une grande utilité mais ils sont particulièrement difficiles à mettre en oeuvre car ils demandent une très grande technicité.
Donc je ne les condamne pas mais dans la plus part des cas ils sont mal utilisés et peuvent ainsi causer plus de tort que de bien. Si l'impulsion se travaille il faut arriver à ce qu'elle soit ou plutôt devienne naturelle. Il faut créer chez le cheval l'envie d'avancer. Cela est très difficile en carrière ou en manège mais est relativement plus simple à obtenir à l'extérieur.

Oui mais un concours c'est sensé démontrer la capacité du cavalier à présenter un cheval nickel, non? Donc la fausse mise à la main d'un enrênnement n'est pas très démonstratrice à mon sens...

Nous savons tous qu'aujourd'hui pour des raisons financières dans les club il est parfois fait n'importe quoi. Celà remonte jusqu'au niveau de la fédération qui est entièrement sous la coupe des pro. de l'équitation. Il est certain qu'avec des gogues et autres élastiques en concours nous ne prenons pas le meilleur chemin pour avoir des champions de dressage dans les prochains temps d'autant que ceux qui viennent avec leurs artifices sont notés de la même façon que ceux qui se donnent du mal et prennent souvent de meilleures places ce qui décourage un tant soit peu les cavaliers qui travaillent souvent avec plus d'application que de réussite.